Keith HARING : un artiste de la rue et de la ligne (19 avril au 18 août 2013, Musée d’Art moderne)

Une exposition très réussie, même si l’on s’attend à voir plus d’illustrations et de dessins. L’exposition n’en reste pas moins une très belle rétrospective, avec des dessins et illustrations, des peintures et des sculptures. Cette exposition s’inscrit dans la continuité des œuvres qui sont présentées au Centquatre.

 

 

 

La ligne dénonce ; elle est le moyen d’expression de ce qui a marqué l’époque de l’artiste, ce qui était jugé comme politiquement correct/incorrect aux Etats-Unis et dans dans le reste du monde : le capitalisme, la religion, le racisme, l’homophobie, le sida et le nucléaire.

 

         

 

          

 

      

 

Tous les supports deviennent des moyens d’expression et, comme les artistes du Ready-made, il emploie, des objets, des sculptures et d’autres socles déjà existants et se les approprie esthétiquement. L’objet devient le lieu d’un jeu de motifs et de ligne entremêlés, surchargé de lignes, de personnages, d’animaux ; le spectateur se laisse absorber par les images et cherche à en décrypter tous les symboles.

 

    

   

 

Influencé par les arts visuels, la politique, l’économie et d’autres sujets contemporains, l’artiste s’est également beaucoup inspiré de la civilisation maya et indienne. Quelques-unes de ses œuvres illustrent des motifs propre à ces civilisations.

Je vous convie à aller voir cette exposition qui dévoile les œuvres d’une des personnalités les plus représentatives des arts visuels, qui a inspiré bon nombre d’illustrateurs et de graphistes actuels !

Pour plus d’informations, consulter le site Internet du Musée : http://www.mam.paris.fr/

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